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Un médicament vétérinaire pour la santé des animaux et... des hommes

L’arsenal thérapeutique vétérinaire couvre les nombreuses espèces animales domestiques, animaux jeunes, gestants ou âgés, et la plupart des maladies... Il est donc très large.


Les animaux de compagnie, chiens et chats surtout, représentent un peu moins de la moitié des médicaments vétérinaires vendus, tout comme les productions animales. Les ruminants représentent un tiers des ventes, deux fois plus que les médicaments pour les porcs et les volailles. Les médicaments pour les équidés sont sur un marché très limité. (Source AIEMV)

70 millions

+1130 milliards

Près de la moitié des médicaments s’adressent aux chiens et aux chats.

Ces animaux sont, en quelques décennies, devenus des membres de la famille. Leur santé et leur bien-être préoccupent davantage leurs propriétaires qu’au XX° siècle. Depuis les années 1960, leur nombre et leur médicalisation se sont développés. Ainsi, l’industrie Recherche, développe et produit des médicaments et des produits de diagnostic répondant aux nouveaux besoins.

Dans le même temps, le passage des chevaux de trait aux chevaux de sports et de loisirs a demandé à notre industrie le développement d’une pharmacopée adaptée.

Pas de denrées saines sans animaux sains.

Les filières de productions animales mobilisent toujours près de la moitié de l’arsenal thérapeutique. La prévention a pris le pas sur le curatif. L’enjeu est de nourrir la planète avec des denrées saines, qu’il s’agisse de lait, de viandes ou d’oeufs. Et la prise en compte croissante du bien-être des animaux d’élevage nécessite encore plus de besoins de recherche et de prévention.

Les vétérinaires de France ont aujourd'hui à disposition un large arsenal thérapeutique, sans doute l’un des plus riches en Europe et dans le Monde.

Et ce, grâce à l’investissement des entreprises du médicament et du diagnostic vétérinaires en recherche et développement au cours de ces dernières décennies.

Mais la recherche dans certains domaines nécessite encore un investissement important. Ainsi le SIMV (Syndicat de l’industrie du médicament et du diagnostic vétérinaires) organise chaque année depuis 2014 les rencontres de recherche en santé animale pour favoriser la signature de partenariats entre des équipes de la recherche privée (entreprises et biotechnologies) et de la recherche publique.

Engagés dans le succès du plan EcoAntibio de réduction des antibiotiques vétérinaires, les industriels se mobilisent notamment pour de nouvelles alternatives aux antibiotiques soient recherchés, évaluées et reconnues comme sûres et efficaces.

Près de la moitié des médicaments s’adressent aux chiens et aux chats.

Ces animaux sont, en quelques décennies, devenus des membres de la famille. Leur santé et leur bien-être préoccupent davantage leurs propriétaires qu’au XX° siècle. Depuis les années 1960, leur nombre et leur médicalisation se sont développés. Ainsi, l’industrie Recherche, développe et produit des médicaments et des produits de diagnostic répondant aux nouveaux besoins.

Dans le même temps, le passage des chevaux de trait aux chevaux de sports et de loisirs a demandé à notre industrie le développement d’une pharmacopée adaptée.

Pas de denrées saines sans animaux sains.

Les filières de productions animales mobilisent toujours près de la moitié de l’arsenal thérapeutique. La prévention a pris le pas sur le curatif. L’enjeu est de nourrir la planète avec des denrées saines, qu’il s’agisse de lait, de viandes ou d’oeufs. Et la prise en compte croissante du bien-être des animaux d’élevage nécessite encore plus de besoins de recherche et de prévention.

Les vétérinaires de France ont aujourd'hui à disposition un large arsenal thérapeutique, sans doute l’un des plus riches en Europe et dans le Monde.

Et ce, grâce à l’investissement des entreprises du médicament et du diagnostic vétérinaires en recherche et développement au cours de ces dernières décennies.

Mais la recherche dans certains domaines nécessite encore un investissement important. Ainsi le SIMV (Syndicat de l’industrie du médicament et du diagnostic vétérinaires) organise chaque année depuis 2014 les rencontres de recherche en santé animale pour favoriser la signature de partenariats entre des équipes de la recherche privée (entreprises et biotechnologies) et de la recherche publique.

Engagés dans le succès du plan EcoAntibio de réduction des antibiotiques vétérinaires, les industriels se mobilisent notamment pour de nouvelles alternatives aux antibiotiques soient recherchés, évaluées et reconnues comme sûres et efficaces.

 

 

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